dimanche 21 décembre 2008

Omo river




La rivière Omo (qui a donné son nom aux différents peuple de la région) n'est jamais à sec; bien sûr aucun pont, et si vous voulez vous rendre de l'autre côté, il faut emprunter le transport local, c'est-à-dire une pirogue taillée à même un tronc d'arbre.


Les berges ne sont pas aménagées, et le risque est grand de s'étaler dans la boue ( NDLR. , à l'intention des éventuels moqueurs, je ne suis pas tombée !)


Un jeune homme nommé Zebra (sans doute prédestiné), le Michael Phelps du coin, constitue la principale attraction: il traverse à la nage et arrive de l'autre côté avant la pirogue, prêt à aider les dames maladroites. Il pose avec moi dans l'unique gargote de ce lieu du bout du monde, où l'on doit montrer son passeport à un fonctionnaire gouvernemental qui en copie soigneusement les coordonnées - parce qu'on se trouve à 20 km du Kenya et 80 du Soudan.

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