Ce que j'ai apprécié dans cet intermède "à la scoute", vous l'avez compris, c'est la solitude. Aucun groupe pour me gâcher le décor ou m'espionner au petit coin. Nous avons passé la soirée à trois, à la chandelle, Santi, le Rasta et moi. Enveloppés dans des couvertures, à bavarder et à enfiler des petits verres d'Ouzo. Magique, vraiment.
Les Dorze gardaient cependant une attraction en réserve: danse autour du feu de camp ! Le Rasta s'est mis aux drums, et les jeunes en costume, rien que pour Santi et moi... Magique, je vous disais.
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